La transition vers la RE2020 marque un tournant décisif dans le secteur de la construction. Depuis janvier 2022, cette réglementation environnementale remplace la RT2012, introduisant des normes plus strictes pour les maisons écologiques. L'objectif est clair : réduire l'impact carbone, optimiser la performance énergétique et garantir un confort thermique optimal, même durant les épisodes climatiques extrêmes.

Maisons positives : au-delà des passives

Les maisons à énergie positive se distinguent des maisons passives par leur capacité à produire plus d'énergie qu'elles n'en consomment. Grâce à l'intégration de technologies avancées telles que les panneaux solaires et les éoliennes domestiques, ces habitations vont au-delà de la simple minimisation de la consommation énergétique. Elles participent activement à la transition énergétique en générant un excédent d'électricité.

Technologies et écomatériaux : un duo gagnant

Pour maximiser l'efficacité énergétique, les maisons positives s'appuient sur des technologies de pointe comme les pompes à chaleur, la géothermie et les chaudières biomasse. L'utilisation d'écomatériaux recyclables et non-polluants contribue également à la neutralité carbone et à la qualité de l'air intérieur. Bien que ces constructions soient environ 15 à 20 % plus coûteuses à l'achat, elles permettent des économies d'énergie significatives et la possibilité de revendre l'excédent d'électricité.

Conseils pour un investissement rentable

Investir dans une maison à énergie positive est un choix judicieux pour l'avenir. En plus des bénéfices environnementaux, ces habitations encouragent les comportements écoresponsables, tels que le tri sélectif et la récupération des eaux de pluie. Pour ceux qui envisagent de construire ou d'acheter, il est essentiel de se renseigner sur les aides financières disponibles et de choisir des professionnels expérimentés dans ce domaine.
En conclusion, la maison active représente une avancée majeure vers un habitat plus respectueux de l'environnement.